Tout employé a la possibilité de réduire son impôt en déclarant les coûts réels qu’il supporte pour son travail. Cela est souvent mal fait parce que de nombreux contribuables ne savent pas ce qu’ils ont le droit de prendre. Les coûts réels ne se limitent pas aux miles et aux repas, il existe plus de 20 postes différents . De plus, certaines professions comme les musiciens, les enseignants, les infirmières, les vendeurs à domicile et bien d’autres ont droit à des déductions spécifiques à leur profession. Les stagiaires et les demandeurs d’emploi sont également impliqués. Je propose de revenir aux coûts réels les plus courants avec la procédure à suivre pour le calcul et les pièces justificatives à conserver pour faire face à un contrôle.
Dépenses réelles sur la déclaration de revenus.
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L’ administration fiscale offre une réduction de 10% sur les salaires avant impôts parce qu’elle considère que tous les Français supportent des fardeaux pour aller travailler. Le contribuable a la possibilité de retenir la déduction de 10 % afin d’éliminer les frais qu’il paie réellement. Il doit alors remplir la case 1AK indiquant le total des coûts encourus. Lors de la déclaration en ligne, il vous sera demandé de fournir les détails du calcul vous a permis de trouver le montant terminé dans la case 1AK. Il n’y a pas besoin de joindre les documents justificatifs, vous devez simplement les conserver pendant trois ans en cas de contrôle. Les coûts réels doivent toujours être étudiés si vous avez des revenus modestes : il est plus facile de dépasser 10 % de 20 000€ que 10 % de 60 000€. Les contribuables qui reçoivent moins de 30 000 euros sont régulièrement gagnants avec le choix des honoraires réels. Sachez que si vous ne payez pas d’impôt, il est important d’étudier les coûts réels malgré tout. Une déduction importante des dépenses réelles réduira votre revenu d’impôt de référence (RFR) ! Nous avions constaté les avantages d’une réduction du RFR sur votre aide sociale et sur la possibilité d’abattement de votre impôt sur le logement.
Plan de l'article
- Les dépenses réelles connues : kilomètres et repas.
- Enseignants, journalistes, musiciens, vendeurs… une réduction d’impôt avec la troisième catégorie de dépenses réelles.
- À chaque déménagement, pensez à vos coûts réels !
- Votre travail exige que vous ayez deux maisons : le coût de la résidence double est pour vous.
- Stagiaires, étudiants, recherche d’emploi : dépenses spécifiques à déduire même si vous ne payez pas d’impôt.
- Quelques professions seulement pour les vêtements et les nettoyeurs à sec !
- Frais déductibles en vrac
Les dépenses réelles connues : kilomètres et repas.
Comment déduire les frais de transport réels des taxes ?
Un horaire kilométrique est mis à la disposition du contribuable chaque année pour calculer le coût du transport à travail et le déduire des impôts. Pour déterminer le nombre de kilomètres parcourus, un voyage aller-retour par jour travaillé au cours de l’année (lieu de travail — domicile) est requis. Les autorités fiscales ont placé un maximum à 40 km aller simple (soit 80 km déductible par jour travaillé). Si vous habitez à plus de 40 km de votre travail, vous devez déclarer un maximum de 80 km ou respecter l’un des conditions suivantes pour pouvoir aller au-delà : — Le seul emploi trouvé se trouve à plus de 40 km de chez vous ; — Vous êtes dans un emploi précaire ; — Vous êtes absent en raison d’un transfert professionnel ; — Votre conjoint (cohabit/païen/marié) travaille près de votre lieu de résidence ; — Vous avez un enfant ou un parent malade ou handicapé.
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L’ échelle de kilométrage pour 2020 est la suivante :
L’ échelle 2020 est connue depuis le début du mois de mars.
Exemple : M. Corrigetonimpôt travaille à 50 km de sa maison. Il a travaillé 200 jours au cours de l’année 2019 et ne remplit pas les conditions pour déduire plus de 40km. Sa voiture fait cinq chevaux de taxe. Que fera-t-il sur son compte de résultat 2020 2019 ?
1) Distance parcourue : M. est plafonné à 40 km aller simple, c’est-à-dire 80 km aller-retour par jour travaillé. 80* 200 = 16 000 km 2) La distance parcourue est comprise entre 5 001 et 20 000 km, M. est dans la troisième colonne du tableau. Il utilisera donc le calcul « 0.308* d 1.200″ où d est la distance. 0.308* 16000 1 200 = 6,128€.
M. pourra donc déduire 6 128 euros des taxes sur les coûts réels du transport. À ce montant, vous pouvez également ajouter les frais de stationnement (garage, stationnement), les péages si vous utilisez l’autoroute et les intérêts sur le prêt proportionnellement à l’utilisation professionnelle si vous avez acheté la voiture à crédit. Pour aller plus loin et si vous avez un changement de véhicule dans l’année, j’ai détaillé plusieurs calculs ici : tout sur l’utilisation de l’échelle kilométrique pour les taxes Enfin, vous pouvez opter pour une deuxième échelle kilométrique que vous trouverez à la fin de l’article. Elle est moins attrayante mais permet au contribuable de déduire les coûts réellement encourus : assurance, réparation… Une option intéressante pour ceux qui choisissent de louer une voiture à LOA.
Déduire les repas à des coûts réels : faites attention au calcul !
L’ autorité fiscale permet au contribuable de déduire les repas dans une certaine mesure. Elle considère que le prix d’un repas équivaut à 4,85€ (pour l’impôt sur le revenu 2019 2020). Attention, cela ne signifie pas que vous pouvez systématiquement déduire 4,85€ de vos impôts par jour travaillé ! Les règles sont les suivantes : — Vous pouvez retourner à pied : vous ne pouvez pas déduire les frais de repas. — Si vous ne revenez pas à midi (travail loin de chez vous), vous n’avez pas de cantine sur votre lieu de travail : vous pouvez déduire 4,85€ par jour de travail. — Même situation mais vous allez tous les jours au restaurant : système inintéressant car au lieu de supprimer 4,85€, il sera « prix restaurant — 4,85″. — Vous avez une cantine sur votre lieu de travail : vous pouvez déduire « le prix de la cantine — 4,85″. Enfin, pour toutes les situations, la participation de l’employeur aux billets de restaurant doit également être exemptée. Quelques cas pratiques à voir plus clairement.
Exemple : 1) Mme Corrigetontax reste à manger chaque déjeuner au travail. Elle apporte sa nourriture parce qu’il n’y a pas de cantine. Elle a 8€ de billets de restaurant, que son employeur finance à hauteur de 4€. Déduction repas : 4,85 — 4 = 0,85€ par jour travaillé.
2) M. a une cantine dans son lieu de travail qui coûte 5€. Déduction repas : 5 — 4,85= 0,15€ par jour travaillé.
3) M. n’a pas de cantine, pas de tickets de restaurant. Au lieu d’apporter son repas, il va tous les jours au restaurant où il paie 8€. Ici gentleman a deux possibilités : 1) Forfait Repas : 4,85€ par jour 2) Repas restaurant : 8 — 4.85= 3.15€ par jour. Il choisira la première solution, pas besoin de garder les factures.
Comme vous le comprenez, dès que vous avez une cantine sur place ou un billet de restaurant, la déduction des repas de vos impôts vous concerne rarement. Sinon, vous pouvez ajouter 4,85€ par jour travaillé au kilométrage obtenu précédemment. Notez que le prix du repas a été estimé à 4,80€ pour l’année précédente.
Ne vous arrêtez pas là, prenez le temps de lire les dépenses suivantes, qui se rapportent à chacune à un moment donné de la vie et qui sont également déductibles des impôts dans les dépenses réelles. Je détaille dans un guide que je vous recommande vivement de lire toutes les astuces pour payer moins d’impôt en France. Les coûts réels qui suivent font partie des créneaux fiscaux peu connus, alors qu’ils réduisent tous les impôts pour beaucoup de gens.
Enseignants, journalistes, musiciens, vendeurs… une réduction d’impôt avec la troisième catégorie de dépenses réelles.
L’administration fiscale permet la déduction de dépenses spécifiques pour personnes qui ont besoin d’un bureau à domicile pour travail. Un créneau fiscal très attrayant qu’il serait dommage d’oublier. Le texte précise que : « ce sont des professions qui mènent à l’étude du travail (musiciens de exemple), la recherche (enseignants, journalistes, etc.), la gestion ou la création (activités liées à la domotique, à la fabrication domestique, etc.). Il peut également s’agir d’un spécifique (stockage de produits de démonstration, d’échantillons ou de biens utilisés notamment par un VRP) » .N’ hésitez pas à consulter les textes que je joins à la fin de l’article pour voir si vous remplissez les conditions nécessaires. Deux nouveaux postes de dépenses déductibles d’impôt (et pas moins !) sont alors accessibles à vous.
Déduction des frais de chambre ou de chambre.
Pour calculer les coûts engagés par les locaux, le contribuable doit d’abord déterminer la proportion de la pièce par rapport à sa maison. Par exemple si le bureau est de 10m² pour une maison de 100m², le local représente 10% de la maison. Dans le cas d’un petit studio, la superficie calculée au prorata devrait être de 50% maximum. Une fois le pourcentage établi, il est possible de déduire au prorata les frais suivants : — les travaux effectués, — l’impôt foncier, — la taxe sur le logement, — loyers et charges de copropriété, — dépenses courantes : chauffage, électricité, balayage, frais de nettoyage, etc. — intérêt de prêt si prêt à faire du travail dans la chambre ect…
Exemple : M. Corrigetontax est enseignant et n’a pas de bureau personnel dans son lieu de travail. Il est donc obligé de travailler à la maison. Sa pièce utilisée pour le travail représente 20% de la maison. L’année où il a payé 1 000€ de taxe locale, 300€ de factures EDF et 10 000€ de loyers. Il peut ajouter aux coûts réels : 20 % * 1000 20 % * 300 20 % * 10 000 = 2 260€
Comme vous le comprendrez, les déductions augmentent très rapidement, ce qui entraîne une réduction substantielle des impôts. Prenez le temps de vous assurer (via les textes ci-joints) que vos conditions de travail vous permettent d’être éligible à ces dépenses déductibles. Si vous avez un emploi spécifique qui n’est pas prévu dans les textes, demandez simplement aux autorités fiscales de votre espace en ligne « tax.gov » pour savoir si elles permettent la déduction des dépenses locales pour votre travail. Vous trouverez ici un moyen de contacter rapidement le centre fiscal responsable de votre dossier en ligne : Comment contacter rapidement les impôts par écrit en leur envoyant une question ?
Matériel informatique, mobilier et fournitures à des coûts réels !
Le don fiscal ne s’arrête pas là. Pour travailler à domicile, les professionnels concernés ont besoin de mobilier (bureau, fauteuil, rangement…), de fournitures (stylos, agrafeuse…) et de matériel informatique (ordinateur, téléphone mobile, logiciel, imprimante…). Tant que le prix unitaire de chaque article est inférieur à 500€, le contribuable peut l’incorporer dans les coûts réels. Notez que si le prix de l’article dépasse 500€, vous devez déduire une rente sur plusieurs périodes. Il est 500€ HT ou 600€ TTC. Par exemple, le coût des ordinateurs peut être amorti sur trois ans (1/3 de la valeur chaque année pendant trois ans en dépenses déductibles). Enfin, s’il n’est pas possible de calculer une rente, seule l’amortissement est déductible au lieu du prix d’achat… c’est-à-dire la différence entre le prix d’achat et la valeur de l’article au 31 décembre.
Exemple : Notre M. de l’exemple précédent achète un ordinateur 630€, une imprimante 100€, 50€ de fournitures et un bureau 400€. M. peut déduire tous les achats sauf l’ordinateur (plus de 500€) qu’il doit étaler sur 3 ans. Le calcul des coûts réels sera : 630/3 100 50 400 = 760€.
Il est bien entendu que les objets doivent être directement liés à la profession et réservés à son usage. Si l’utilisation n’est pas exclusive (p. ex. vous utilisez l’ordinateur à 50% pour le travail et 50% pour le personnel), puis déduisez le prorata réservé pour le professionnel seulement (50% du prix de l’ordinateur ici). Bien sûr, vous devez garder toutes les factures et toutes les preuves en cas de contrôle (que ce soit pour l’équipement mais aussi edf, chauffage, taxe foncière… pour le local).
À chaque déménagement, pensez à vos coûts réels !
Pour toutes les dépenses anticipées, il est évident que si votre employeur vous rembourse le montant payé, il n’est pas possible de les ajouter aux dépenses vraies. Cette règle doit être connue principalement pour les frais de déménagement, mais s’applique également à d’autres, comme le transport, comme on l’a vu précédemment. Lorsqu’un nouvel emploi ou un transfert Professionnel vous oblige à déménager, une nouvelle catégorie de dépenses réelles apparaît. Il devient possible de déduire les impôts aux frais réels : — les dépenses de voyages effectuées pour le transport de personnes ; — les dépenses de voyages effectuées pour le transport de cartons ; — paiements effectués à une entreprise de déménagement. L’horaire de kilométrage vous permettra de connaître le montant à déduire et vous devez conserver la facture si vous utilisez une société. Note ici que la jurisprudence a précisé qu’il est interdit de déduire les coûts de l’équipement de la nouvelle maison : rideaux, peinture, etc.
Votre travail exige que vous ayez deux maisons : le coût de la résidence double est pour vous.
Certaines personnes travaillent si loin de chez elles qu’elles sont obligées de louer ou d’acheter des propriétés supplémentaires pour vivre dans le semaine. Le fait d’avoir à vivre à l’extérieur de la résidence principale pour travailler vous rend admissible au coût de la résidence double. Une fois de plus, consultez les textes en amont afin de vérifier que vous remplissez les conditions. Les dépenses déductibles subissent ensuite certains changements : — Le contribuable peut rendre compte d’un aller-retour par semaine seulement ; — D’autre part, il peut déduire deux repas par jour ; — S’il est locataire, il peut incorporer le loyer payé dans les dépenses déductibles ; — S’il a acheté une propriété à crédit près de son travail, il peut ajouter l’intérêt sur le prêt à la redevance.
Stagiaires, étudiants, recherche d’emploi : dépenses spécifiques à déduire même si vous ne payez pas d’impôt.
Les autorités fiscales considèrent que les frais de formation peuvent être déduits si la formation est utilisée pour trouver, maintenir ou améliorer leur travail. Cela vous permettra de déduire les frais d’inscription, les frais de déplacement, l’impression et l’envoi de documents, ainsi que les frais d’organisations telles que CNED. Nous pouvons illustrent cela avec quelques exemples concrets : — une personne qui suit une formation pour devenir pâtissier peut déduire ses dépenses ; — un professeur supporte les frais d’impression et de diffusion de sa thèse. Ce dernier aura une influence sur les travaux futurs de contribuable qui peut ajouter le montant des frais (impression…) à ses dépenses réelles. — Un artiste peut inclure des cours de chant ou de danse dans les frais.
frais de stage et de recherche d’emploi Les suivent la même tendance. Que ce soit l’impression de CV/lettres de motivation, les frais de déplacement à des fins d’entretien au moyen de l’horaire de kilométrage ou des frais de téléphone/courrier sont tous déductibles en dépenses réelles. Une opportunité de saisir même si votre impôt sur le revenu est de 0€. Vous serez en mesure de réduire votre revenu fiscal de référence, ce qui contribuera à réduire votre impôt sur le logement et à augmenter vos subventions sociales (RSA, allocations de logement, etc.).
Quelques professions seulement pour les vêtements et les nettoyeurs à sec !
Souvent source d’erreur, de nombreux contribuables croient à tort qu’ils peuvent incorporer des frais d’achat de vêtements ou de nettoyage. C’est en particulier, les hommes contraints de porter un costume et une cravate qui n’ont pas droit à cette déduction. Les textes sont très clairs, seules certaines professions peuvent ajouter des frais d’habillement à leurs dépenses réelles : — vêtements de travail portés par les travailleurs (bleus de travail, chaussures spéciales, etc.) ; — collants, justaucorps, pointes… d’artistes chorégraphiques ; — costume officiel des membres de l’université, équipement et tenue des officiers, uniforme des préfets et habillage des magistrats ; — chemises blanches des maîtres de l’hôtel ; — combinaison d’instructeurs de ski. Si vous êtes concerné, vous avez le droit de comptabiliser le prix d’achat mais aussi les frais d’entretien et de blanchisserie. Tout autre n’est pas admissible aux frais d’habillement et est assujettie à un allégement en les ajoutant. Le bulletin officiel des finances publiques est très clair : « … les contribuables qui ne sont pas tenus par leur profession de porter des vêtements spéciaux, mais de porter des vêtements d’usage courant, ne peuvent pas déduire les dépenses en tant que telles ». Veuillez noter également que les textes ne mentionnent aucune possibilité de déduire les frais de coiffeur, maquillage etc…
Frais déductibles en vrac
La liste des frais déductibles est longue et ne s’arrête pas là. Je peux citer les dépenses suivantes que je n’ai pas mentionnées et qui sont franchise : — les cotisations syndicales ; — Frais de mission : toutes les dépenses non remboursées par l’employeur Voyage à un congrès (hôtel, kilomètre, repas, etc.) ; — les frais de procédure ; – Les professions de service de nuit ont droit à plusieurs repas et plusieurs allers-retours par jour ; — Frais de documentation pour certaines professions (magazines, journaux, etc.) — Les métiers artistiques (musiciens, sculpteurs, danseurs…) bénéficient de frais déductibles spécifiques selon chaque situation.
Si vous n’êtes pas sûr de votre calcul, si vous avez peur de faire une erreur ou si vous envisagez de « gonfler » vos dépenses réelles, nous avons vu dans cet article que le risque est limité compte tenu des augmentations raisonnables lors d’une vérification fiscale.
Vous trouverez les détails des calculs, les coûts totaux, les textes en vigueur et la jurisprudence dans notre vidéo. Les textes en vigueur sont également joints sous la vidéo.
Coûts réels et retenue à la source.
L’ introduction du prélèvement à la source ne change pas les coûts réels. Il est toujours plus qu’conseillé de les optimiser car cela réduit les impôts et les revenus fiscaux. Sachez que les dépenses réelles constituent une déduction et non une réduction d’impôt. Cela signifie qu’ils sont pris en compte lors du calcul de votre charge source. Le taux que vous payez est basé sur votre dernière déclaration de revenus et inclut les dépenses réelles. En cas de variation importante des coûts réels d’une année à l’autre, les autorités fiscales procéderont à une régularisation en septembre.
Les textes en vigueur pour les dépenses effectives sont les suivants :
— Frais km, repas, mission, double résidence, déménagement : BOI-RSA-BASE-30-50-30-20-20170224
— Coûts de l’espace domestique et des professions artistiques : BOI-RSA-BASE-30-50-30-20170621
— Frais d’habillement, de stage, de formation, de fournitures et d’ameublement, divers : BOI-RSA-BASE-30-50-30-40-20170920
— Deuxième échelle de kilométrage moins avantageuse:Boi-Bareme-000003-20180207
les coûts réels. Il est toujours plus qu’conseillé de les optimiser car cela réduit les impôts et les revenus fiscaux. Sachez que les dépenses réelles constituent une déduction et non une réduction d’impôt. Cela signifie qu’ils sont pris en compte lors du calcul de votre charge source. Le taux que vous payez est basé sur votre dernière déclaration de revenus et inclut les dépenses réelles. En cas de variation importante des coûts réels d’une année à l’autre, les autorités fiscales procéderont à une régularisation en septembre.
Les textes en vigueur pour les dépenses effectives sont les suivants :
— Frais km, repas, mission, double résidence, déménagement : BOI-RSA-BASE-30-50-30-20-20170224
— Coûts de l’espace domestique et des professions artistiques : BOI-RSA-BASE-30-50-30-20170621
— Frais d’habillement, de stage, de formation, de fournitures et d’ameublement, divers : BOI-RSA-BASE-30-50-30-40-20170920