Après deux ans de consultations, retraites promises par Emmanuel Macron est plus que jamais contesté dans son les principes fondamentaux et les points cruciaux restent à déterminer.
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Universel et pointillé, qu’est-ce que c’est ?
Le gouvernement promet un système « plus juste » et « plus lisible », où « un euro contributif donnera des droits égaux à tous », afin de répondre au manque de confiance des jeunes générations et pour s’adapter aux changements de la société.
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Les 42 régimes de retraite, où les pensions sont calculé sur la base du nombre de trimestres contribués, il doit donc être remplacé par un « système universel » où chacun accumulera des points tout au long de sa carrière et pour chaque jour, il a travaillé.
Pas plus, donc, la règle de la meilleure 25 ans pour employés du secteur privé et les 6 derniers mois pour les fonctionnaires et régimes spéciaux. Selon l’exécutif, en tenant compte de l’ensemble de la La course doit promouvoir les courses courtes, en collision et basses ascendant.
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Un argument réfuté par les opposants au projet comme que FO et la CGT, qui croient que les pensions seront mathématiquement moins élevé avec l’intégration dans le calcul des années pauvres, et la peur que la valeur du point, qui détermine le niveau des pensions, servent de variable ajustement budgétaire.
Du côté des professions libérales qui gèrent aujourd’hui leurs propres fonds de pension, nous avons peur d’une augmentation contributions brutales et le « pillage » de leurs réserves financiers.
« Travailler plus long » ou pas ?
Le Premier ministre Edouard Philippe a de nouveau déclaré mercredi que les Français devront « travailler peu à peu plus » pour « remettre le système actuel à l’équilibre » avant l’entrée en vigueur du nouveau régime en 2025.
L’ âge légal du départ restera 62 ans, mais deux sont dans la table : développez la période de contribution ou créer un nouvelle ligne d’âge pour une pension à taux plein, comme coupe de cheveux avant 64 ans.
Mais tous les syndicats sont opposés à l’allongement heures de travail, y compris CFDT, le seul support de poids pour un régime points universels, d’autant plus que la durée des cotisations pour une pension à un rythme complet devrait déjà passer de 41,5 ans aujourd’hui à 43 ans en 2035.
Si une telle « mesure paramétrique » décidé, le central « demandera aux employés de se mobiliser », un avertit son numéro un Laurent Berger.
Génération 1959, 1963 ou plus En retard ?
L’ exécutif vise à l’entrée en vigueur de sa réforme 2025. La génération née en 1963 aurait alors 62 ans et serait la première inquiet.
Mais pour réparer les comptes, leurs aînés , déjà dans la génération de 1959, qui avait 62 ans dans 2021.
Dans le même temps, le gouvernement est prêt à changer application du futur « système universel » à « les gens un peu plus loin de la retraite que ce qui avait été prévu jusqu’à présent », a déclaré Edouard Philippe mercredi.
Sans tenir compte de la « clause du grand-père », qui n’appliquerait la réforme qu’aux futurs participants sur le marché du travail : « Entre deux extrêmes, nous devons pouvoir trouver le bon curseur », a-t-il insisté.
« Plus juste », vraiment ?
Le gouvernement met l’accent sur de nouveaux droits tels que une pension minimale de 1 000 euros pour une carrière complète, notamment favorable aux agriculteurs.
Elle s’engage également à étendre aux fonctionnaires Critères pour la douleur privée à sortir à l’âge de 60 ans, mais les plans éliminer les départs précoces à 57 ans dans les hôpitaux.
Interruptions professionnelles (maladie, maternité, handicap, chômage) prendrait en compte, mais pas le chômage non rémunéré.
Dans le cas des veuves, les règles de renversement seraient harmonisées : 70 % de la pension totale reçue par le couple serait garantie, mais seulement à partir de 62 ans contre 55 ans dans certains régimes actuels.
Côté droit de la famille, 5% de bonus pour chaque enfant serait accordé par défaut à la mère. Mais je ne suis pas sûr que ce soit plus avantageux que la règle actuelle qui combine des quartiers libres pour tous mères et 10 % de surtaxe pour les familles nombreuses.
Au milieu de la controverse sur ce sujet, M. Philippe a reconnaît « l’importance (…) de définir équitablement et pérennellement droits de la famille ».