La retraite des auto-entrepreneurs n’est actuellement pas calculée comme celle des employés, puisqu’elle est indépendante et non rémunérée. Examinons en détail comment ce système fonctionne et ce qui modifiera la réforme des pensions lancée par le gouvernement actuel.
Plan de l'article
- Validation actuelle des trimestres de l’autoentrepreneur
- Montants de chiffre d’affaires à valider un trimestre
- Droits à la sécurité sociale des travailleurs indépendants
- Réforme des pensions
- Qu’ en est-il des auto-entrepreneurs qui ne font pas de contributions
- L’ opposition de la FNAE à la points minimaux
- Le Livre blanc de la FNAE
- Quand cette réforme des retraites sera-t-elle effectuée et à qui se référez-vous ?
Validation actuelle des trimestres de l’autoentrepreneur
Les auto-entrepreneurs sont soumis au régime microsocial simplifié. Ils sont considérés comme des entrepreneurs indépendants et devraient contribuer de leur propre chef.
Lire également : Ce qu’il faut savoir sur l’acquisition d’une voiture en leasing
Le chiffre d’affaires est communiqué à l’URSS, avec le paiement de l’impôt sur le revenu et des cotisations sociales et des cotisations. Lors de la création d’une micro-entreprise, l’auto-entrepreneur décide de rendre compte de son chiffre d’affaires mensuel ou trimestriel.
L’ auto-entrepreneur acquiert des droits à la retraite qui sont calculés sur la base de leur chiffre d’affaires et le montant de les cotisations sociales qu’il paie, proportionnellement à ce chiffre d’affaires. Ces les charges correspondent à un taux social libérateur forfaitaire qui s’applique au chiffre d’affaires effectivement reçu. En conséquence, lorsque ne rapporte pas le chiffre d’affaires, ne contribue pas, et donc ne gagne pas droit à la retraite.
A lire en complément : Toulouse : comment valoriser votre bien immobilier ?
Que l’auto-entrepreneur mène des affaires comme revenu principale ou comme annexe des recettes ne change rien dans le calcul. Pour faire le trimestriel être validé pour l’assurance pension, l’auto-entrepreneur est nécessaire pour atteindre un chiffre d’affaires minimum au cours de l’année. Qu’il travail ou pas toute l’année n’a aucune influence, seulement le chiffre de l’année civil est considéré.
Montants de chiffre d’affaires à valider un trimestre
Voici les montants minimaux de facturation qui ont dû être effectués en 2019 pour valider les trimestres d’assurance vieillesse :
- Tableau des plafonds de chiffre d’affaires à effectuer pour valider un trimestre Si nous prenons l’exemple d’un entrepreneur indépendant faisant une activité de prestation de services dans le cadre du BIC, vous devrez réaliser un chiffre d’affaires minimum de 12.030 euros pour valider vos quatre trimestres d’assurance retraite. S’il n’atteint que 5 000 euros de chiffre d’affaires au cours de l’année civile, il ne pourra valider que deux trimestres.
Il n’est pas possible de valider plus de quatre trimestres par an, même en combinant une activité autonome et une activité salariée.
S’ il est commerçant, artisan ou profession libérale non réglementée, l’auto-entrepreneur acquiert également les droits de SSI, Sécurité Sociale des Travailleurs Indépendants. Si vous exercez une profession libérale réglementée, vos droits dépendent de la CIPAV, la Caisse interprofessionnelle des professions libérales. Cette adhésion se fait automatiquement au moment de la déclaration d’activité effectuée dans la seule fenêtre URSSAF. La cessation de l’activité est également réalisée avec l’URSS. D’autre part, au cours de son activité, l’entrepreneur indépendant doit communiquer avec le SSI ou l’IPAV dont il dépend.
Réforme des pensions
Le Gouvernement envisage de créer un régime universel fondé sur les points. Il est difficile de savoir quelle sera la situation réelle, car chaque jour elle reculera dans cette réforme et continue d’accorder des exceptions aux différents régimes. À l’heure actuelle, la réforme n’a rien d’universel, avec des caractéristiques spécifiques pour chaque société.
En principe, le système de points signifie que chaque personne doit avoir les mêmes droits pour un euro contributif et qu’un seul fonds sera responsable de tout gérer. Les points accumulés tout au long de la vie active sont transformés en pension lorsque la personne a pris sa retraite.
A priori, la particularité des auto-entrepreneurs devrait être conservé, sans contribution minimale obligatoire, tandis que l’autre les travailleurs indépendants sont tenus de verser une cotisation minimale, même lorsqu’ils ont un chiffre d’affaires nul. Le régime des taches apparaît donc, pour l’instant, plus en faveur des auto-entrepreneurs. En fait, alors qu’un chiffre minimum est nécessaire pour valider un trimestre, le calcul avec chaque Les points de notification Euro sont plus avantageux.
Qu’ en est-il des auto-entrepreneurs qui ne font pas de contributions
Une des difficultés de la réforme des retraites auto – entrepreneurs est que le régime couvre une grande variété de professions, avec une grande diversité de revenus. Il est également nécessaire de prendre en compte le fait de que certains font leur activité principale, tandis que pour d’autres ne n’est qu’un supplément de revenu.
Le problème est que les entrepreneurs – entrepreneurs, le revenu est insuffisant pour assurer la sécurité sociale. Par conséquent, il s’agit d’une la possibilité d’acquérir une garantie de points minimum pour chaque année.
S’ il est nécessaire de trouver un mécanisme pour améliorer les droits à pension de l’entrepreneur indépendant, la possibilité d’ouvrir une option pour acquérir une garantie minimale de points chaque année serait envisagée.
L’ opposition de la FNAE à la points minimaux
Pour l’instant, la FNAE — la Fédération Nationale Automobile Entrepreneurs rejette l’idée d’imposer un montant minimum de points à payer auto-entrepreneurs dont l’activité principale est.
À ce jour, mais nous devrions toujours parler à la libération conditionnelle, rien ne changerait vraiment pour les auto-entrepreneurs au niveau de leur contributions. Ceux qui ne gagnent que de faibles revenus pourraient acheter points à la fin de l’année pour combler le vide en chiffres.
La FNAE a négocié au cours de plusieurs réunions avec Jean-Paul Delevoye et Agnès Pannier-Runacher adapteront la réforme aux points de – entrepreneurs. Départ de M. Delevoye à la suite d’un stage illégal — recevait une rémunération à l’extérieur de son ministère, qui est officiellement interdite — rien ne devrait changer et la FNAE continue dialogue avec son successeur, Laurent M. Pietraszewski.
Le Livre blanc de la FNAE
La FNAE a publié un livre blanc pour faire le point sur le Retrait des auto-entrepreneurs aujourd’hui, faire des propositions et en précisant les points qu’elle considère comme non négociables.
Les principales questions actuelles sont suivant :
-
- la FNAE veut être sûr que le niveau de les frais n’augmenteront pas ;
- est-il possible d’échanger des points en en fonction de l’activité ;
- il sera possible d’échanger des points à la fin carrière ;
- dans l’état actuel, il est possible de racheter des quartiers, mais ils deviennent plus chers que nous approchons l’âge de la retraite. La même chose sera vraie pour le rachat de points ;
- sur quelle base le rachat de points ;
cotisations de retraite actuellement réduites les bénéficiaires d’Acre seront toujours indemnisés et, affirmatif, quelle hauteur.
Quand cette réforme des retraites sera-t-elle effectuée et à qui se référez-vous ?
C’ est encore un grand point d’interrogation. Le gouvernement est en totale floue au sujet de l’application de son calendrier et les personnes touchées. Il a déjà changé d’avis à plusieurs reprises et les données sont différentes en fonction du régime, ce qui est complètement contraire à l’objectif de la retraite « universelle ».
Par conséquent, il est nécessaire d’apprendre jour après jour sur l’évolution des négociations.