Les garanties de décès PTIA, IPT, ITT et IPP sont celles demandées par votre banque dans le cadre d’un prêt de résidence principale. Derrière ces termes, qui peuvent sembler barbares, apparaissent des garanties qui correspondent au fait que la banque veut que vous ayez une assurance qui couvrira le paiement de vos échéances de prêt immobilier pour le risque d’arrêt de travail ou d’invalidité voir solde de votre crédit immobilier s’il s’agit d’un décès ou d’un total handicap nécessitant l’assistance d’un tiers.
Donc, en suivant vos interlocuteurs, vous entendrez parler de l’assurance décès, de l’assurance DIT, de l’ADI,… Expressions toutes différentes mais pour un contrat et une couverture qui est identique ou du moins selon les novices presque identiques.
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Dans le cadre de cet article, nous voulions vous dire ce que ces garanties représentent réellement, comment elles ont été mises en œuvre et vous avertir de certains points concernant leur fonctionnement. Ainsi, vous serez en mesure d’avoir à l’esprit lorsque vous recherchez les points essentiels.
Lorsque vous effectuez un prêt immobilier pour votre résidence principale et que vous êtes en affaires, le banquier vous demandera donc systématiquement cette couverture de décès PTIA IPT ITT Chaque banque aura alors des exigences spécifiques si vous décidez de prendre un contrat en dehors de son établissement. Tout cela est possible et c’est un droit inscrit dans la loi Lagarde de 2010. C’est ce qu’on appelle faire une délégation d’assurance (cf. « Délégation de l’assurance prêt immobilier, définition et intérêt à l’emprunteur »).
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Cela permet à 90% des cas de payer moins cher mais aussi de pouvoir choisir une couverture adaptée à votre situation, surtout lorsque vous souhaitez avoir des garanties spécifiques qui n’existent pas dans le contrat d’assurance prêt présenté par votre banquier. Ainsi, vous ne paierez pas moins parce que le contrat est moins couvrant ou a des défauts cachés que votre banquier pourrait l’indiquer, mais simplement parce qu’il existe des méthodes de prix différentes entre les produits d’assurance emprunteur banque ceux des assureurs externes.
Bien sûr, votre banquier a un contrat à vous présenter et c’est sur ce contrat d’assurance prêt qu’il veut obtenir une marge confortable. Compte tenu des taux d’emprunt actuels (cf. » Échelle personnalisée des meilleurs taux de crédit immobilier en ce moment » vous soupçonnez que ce n’est plus sur le taux d’intérêt que la banque fera son beurre, mais sur les produits dits auxiliaires.
Quand je dis que chaque institution bancaire a des exigences spécifiques, c’est tout simplement que, bien que tous ces contrats soient appelés contrat de mort PTIA IPT ITT, ils ne couvrent pas exactement la même chose. Votre banquier s’appuiera donc sur son propre contrat pour dire si celui que vous avez choisi est équivalent ou non. Cette exigence de garantie est reflétée dans le qui doit vous être remise en même temps que la simulation de prêt. Il s’agit d’une obligation légale.
L’idéal reste à lui demander ou éventuellement aller sur le site de votre banque pour télécharger les critères d’équivalence de l’assurance emprunteur. Ainsi, vous trouverez par exemple les exigences de l’emprunteur d’assurance de la Banque Postale ou encore les critères d’exigences pour l’assurance crédit du Nord emprunteur sous forme de tableau récapitulatif.
Néanmoins, vous avez tout intérêt à demander votre carte personnalisée auprès du conseiller bancaire ou du courtier en prêt immobilier au risque de perdre un temps très important sur le site Web de la banque ou tout simplement de ne pas avoir une information claire et précise.
Bien sûr, ne vous limitez pas à des explications orales car une fiche d’information est un résumé des garanties souscrites avec 2 ou 3 points de distinction selon les contrats. Seules les conditions générales de vente reflètent le fonctionnement exact et détaillé des garanties et c’est ce document que fera en sorte que l’assureur vous indemnise ou non. Ne risquez donc pas de succomber aux chansons des sirènes de vos banquiers (voir » Assurance prêt : Méfiez-vous des fakenews de votre banquier sur les garanties irrévocables et les tarifs ! » parce que le jour où il doit payer une mensualité de prêt, voir la vente de votre prêt, les sirènes auront certainement disparu. Après cet avertissement général, nous allons maintenant vous exposer les garanties qui sont incluses dans un contrat d’assurance prêt immobilier.
Plan de l'article
- Garanties de décès pour votre assurance prêt immobilier.
- La garantie PTIA (perte totale et irréversible d’autonomie)
- Garanties IPT (invalidité totale permanente)
- Garanties IPP (invalidité permanente partielle)
- La garantie ITT (incapacité temporaire de travail)
- Comment souscrire à une assurance emprunteur ?
Garanties de décès pour votre assurance prêt immobilier.
Le principe est simple. Si vous décédez, l’assureur paiera le solde de votre prêt le jour du décès. L’assureur paiera donc la part correspondant à votre part d’assurance (voir » Quelle partie de votre crédit immobilier doit être assurée. Analyse du quotité de l’assurance prêt. » Si vous êtes assuré à 100 %, il paiera le prêt en entier, si vous êtes assuré à 50 %, il paiera 50 % du capital impayé et votre conjoint assumera les 50 % restants, c’est-à-dire qu’il continuera de payer 50 % du paiement mensuel du prêt. L’assurance décès ainsi que la garantie PTIA, que nous verrons, est la garantie obligatoire du contrat.
Il est impossible d’assurer uniquement dans ITT IPT (arrêt de travail d’invalidité) sans souscrire à la garantie de décès. Donc, même si vous trouvez qu’un assureur facture moins pour son assurance décès et l’autre pour sa couverture ITT moins, vous ne serez pas en mesure de dissocier les deux. Dans certains cas, comme les investissements locatifs, la banque peut vous demander de ne prendre que cette garantie sans nécessairement avoir à la compléter par des garanties ITT IPT. Si vous ne devriez vous concentrer que sur la prestation de décès, vous pouvez ensuite vous attarder sur les exclusions qu’elle contient.
Quelles sont les exclusions des garanties de décès sur un contrat d’assurance emprunteur
Ils seront plus ou moins nombreux selon les contrats et certains seront inclus dans la grande majorité des conditions générales des ventes d’assureurs. Par exemple, nous trouverons :
- Suicide dans la première année d’assurance
- Les événements de guerre civile, d’émeutes, de rixing, d’attaque si l’assuré y participe activement. Il convient de noter que le cas de légitime défense dans le cas d’un combat, par exemple, est bien entendu couvert
- Dangers aériens liés aux compétitions, démonstrations, acrobaties, raids, vols d’essai, vols prototypes, tentatives de record
- Risques encourus sur les véhicules à moteur au sol lors de compétitions ou de rallyes
- Les effets directs ou indirects des explosions, des dégagements de chaleur, des inhalations, lorsqu’ils résultent de la transmutation des noyaux atomiques
Certains assureurs ajouteront :
- Conduire en état d’ivresse
Bien que l’on puisse penser que cette exclusion est évidente, elle n’est pas nécessairement incluse dans tous les contrats d’assurance emprunteur, du moins en ce qui concerne la garantie de décès. Ainsi, il y aura différentes formulations selon les contrats. Certains diront que l’exclusion s’applique si l’assuré est responsable, d’autres s’il est conducteur, d’autres encore étendent l’exclusion à tous les accidents même s’il ne s’agit pas d’un accident de la route…
- La pratique de certains sports à risque
Si vous êtes concerné, soyez particulièrement vigilant aux sports énumérés. La plupart du temps, vous pouvez être couvert en remplissant un questionnaire spécifique et en obtenant un prix personnalisé auprès de l’assureur. Sachez que si l’exercice de votre sport est particulièrement dangereux, il existe des contrats ne couvrant aucune augmentation de prix.
La garantie PTIA (perte totale et irréversible d’autonomie)
Cette garantie est liée à la garantie de décès et peut généralement être accordée jusqu’à 65, 67 ou même 70 ans. Il s’agit de la définition contenue dans les contrats d’assurance emprunteur d’un état d’invalidité résultant d’un accident ou d’une maladie qui rend définitivement l’assuré incapable d’exercer une profession ou un travail qui lui procure un gain ou profit.
En plus de cet état de handicap, l’obligation d’utiliser l’assistance d’un tiers pour accomplir les actes essentiels de la vie quotidienne (se déplacer, se nourrir, s’habiller, se laver) doit être ajoutée. Nous voyons donc tous le type de handicap qui doit être atteint pour être dans un état de PTIA et être couvert par cette garantie.
Si l’assuré est trouvé dans ce cas précis, l’assureur paiera le montant du principal restant dû à la date à laquelle cette déclaration peut être reconnue médicalement. Cela signifie, entre autres choses, que vous serez en mesure de traverser une situation d’arrêt de travail dans une première fois (ITT). En effet, même si cette condition peut être atteinte plus ou moins rapidement après l’origine (accident ou maladie), l’assureur vous mettra d’abord dans la boîte arrêt de travail ou un peu plus tard IPT (invalidité totale sans assistance d’un tiers). J’insiste sur ce point lié au retard, car dans le contexte d’un investissement locatif en particulier, il s’agit de souvent les seules garanties demandées par la banque en plus de la garantie de décès.
Donc, quand on vous demande une garantie PTIA DC, gardez à l’esprit que si vous entrez dans le cadre d’un handicap même majeur, il y a un risque réel de 2 choses qui se produisent :
- Si vous ne disposez pas d’une aide de tiers pour les actes de la vie quotidienne, vous ne serez pas en état de PTIA et donc l’assureur ne vendra pas votre prêt
- Au moment où les choses sont mises en place et que les expertises ont lieu, vous risquez d’attendre un certain temps avant que l’assureur ne paie… en effet, l’assureur peut vous laisser dans la boîte ITT (arrêt de travail) pendant 3 ans… Ses décisions sont indépendantes de celles de la sécurité sociale ou de toute autre organisation sociale
Donc, si en même temps vous devez faire face à une vacance locative ou à un loyer impayé, vous ajouterez des difficultés financières à une situation personnelle devenue assez difficile à gérer. L’option de revendre le bien que certains considèrent en amont de leur assurance emprunteur sans imaginer pleinement la situation réelle n’est pas nécessairement facile. En effet, si vous pensez que l’assureur va bientôt payer votre prêt, vous voudrez attendre qu’il rembourse la dette. Entre-temps, il sera nécessaire de supposer financièrement si le locataire n’est plus là ou s’il ne respecte pas ces délais. Dans le cas où vous retournez le bien, vous seriez dans l’obligation de payer le prêt lorsque l’assureur aurait le droit d’être compensé sous peu.
Il s’agirait donc d’une très mauvaise transaction financière, sans oublier que la vente hâtive d’un bien n’est jamais une bonne chose (obligation de vendre sauf dans des cas exceptionnels). Vous devriez donc avoir un peu plus de réflexion lorsque votre banquier vous demande une garantie PTIA DC pour couvrir votre investissement locatif. Une couverture partielle (p. ex. 50 %) ITT IPP et IPT pourrait être un bon conseil pour limiter les coûts tout en profitant du rendement à court et à long terme de l’assureur.
Tous les contrats ne fonctionnent pas de cette façon, et les comparateurs d’assurance de prêt ne sont pas nécessairement incorporer ce type de possibilité (c’est normal, nous quittons le système industriel et les produits de masse). — Comparateur d’assurance prêt : comparer les taux C’est bon, comparer les garanties est mieux ! — Le temps vient d’entrer dans les garanties les plus techniques et sur lesquelles il y a le plus de différences entre les contrats, ceux que tout le monde discute comment ils fonctionnent sur les forums Internet.
Pourquoi allons-nous parler sur un forum internet sur l’assurance emprunteur ? Non pas parce que nous sommes intéressés par ce produit, mais parce que nous voulons exprimer notre insatisfaction avec un manque de compensation ! ! Nous voulons critiquer le fonctionnement d’un contrat pour lequel nous avons payé pendant des années pour ne pas être compensé quand nous en avons le plus besoin ! ! !
En tant que courtier d’assurance emprunteur, j’ai déjà visité comme tout le monde sur ce type de forum et je trouve essentiellement les effets des contrats que je critique le fonctionnement de tout au long de la journée et c’est pour cette raison que j’essaie via ce type d’article informe la masse de les gens qui sont au moins intéressés par le produit qu’ils vont prendre en même temps que leur prêt immobilier. Je vais crier haut et clair et supposer que NON LES assureurs ne sont pas des voleurs ! !
Ils rendent simplement différents rouages disponibles. Certainement le langage est technique je l’accorde mais il est rapidement possible si vous avez un interlocuteur de qualité d’éviter une grande majorité de pièges et de laisser sur des garanties garantissant la grande majorité des problèmes de santé qui peuvent survenir pendant le contrat. Bien sûr, il vous appartient aussi d’être strict sur votre état de santé (voir « Les conséquences et les risques d’une fausse déclaration sur le questionnaire santé de l’assurance emprunteur »).
Si c’est le cas, vous évitez 50 % des préoccupations au sujet de la non-indemnisation. Ici aussi, les forums dédiés à l’assurance emprunteur sont pleins d’histoire et mon niveau je ne compte plus nombre d’emprunteurs me disant qu’il veut changer emprunteur d’assurance après avoir fait une fausse déclaration sur le « bon conseil » de leur banquier ou courtier.
L’objectif était bien sûr d’obtenir le prêt plus facilement, mais qui supporte le risque au cours des 20 ou 25 ans ? Votre banquier ? Ton courtier ? Ou toi ? Cela nous rappelle une fois de plus que nous ne devons pas succomber aux chants des sirènes ? On vous a dit que vous pouvez changer d’assurance juste après ? ? ? Ah, bien ? et maintenant il n’est pas possible ? ? ? et votre banquier ou courtier ne peut rien faire pour vous… MINCE c’est ennuyeux.
Y aurait-il une différence entre la théorie et la pratique ? Comme vous le savez, c’est comme dans tous les domaines, y compris ceux que vous avez généralement les mieux maîtrisés. Soyez donc particulièrement attentif à ce qui suit
Garanties IPT (invalidité totale permanente)
Commençons par la définition (ci-après le contrat Generali 7320) que l’on retrouve dans les dispositions générales et qui varie légèrement ou en grande partie selon les contrats :
« La persistance d’une incapacité de travail (ou l’incapacité d’exercer toutes ces professions habituelles, si l’assuré est sans activité professionnelle au moment de la perte) qui a donné lieu à la constatation médicale qu’il est impossible d’améliorer l’état de santé par un traitement approprié, selon les connaissances médicales et les scientifiques actuels.
L’ IPT correspond à un taux d’invalidité supérieur ou égal à 66%, qui est déterminé par l’expertise médicale avec les taux d’incapacité fonctionnelle et professionnelle permanents indiqués dans le tableau ci-dessous… »
D’autres (ci-dessous le contrat Predica du Crédit Agricole) auront des définitions très simples mais ouvriront la porte à une appréciation personnelle de l’assureur puisque moins bien encadrée :
Vous êtes en IPT lorsque, dans le cadre d’une assurance, les deux conditions suivantes sont réunies cumulativement : — À la fin d’un statut IPT défini à l’article 20.3.1, vous vous trouvez dans l’incapacité médicale d’exercer, même à temps partiel, une activité professionnelle ou non professionnelle habituelle activité ; — Cette invalidité doit être justifiée par la production des documents prévus à l’article 21.5 « En cas d’invalidité permanente totale ».
Dans l’assurance, plus les définitions sont précises sont meilleures, il est surtout quand vous vous retrouvez au tribunal ou demandez une expertise tierce partie parce que l’évaluation du taux d’invalidité n’est pas favorable et vous prive de compensation Nous avions consacré un article complet sur les différentes méthodes d’évaluation de l’IPT en fonction des contrats.
Bien que cet article soit technique, il a l’avantage d’aller à la fin de ce qui se traduit par des niveaux de rémunération très différents, parfois même jusqu’à la non-compensation en fonction du contrat choisi (voir « La garantie IPT (invalidité totale) de votre assurance prêt : définition, analyse, évaluation des taux, avantages et sélection »). Un autre point à prendre en compte, et surtout, sur cette garantie IPT, est le mode de livraison.
La prestation est celle qui est versée par le assureur lorsque vous saisissez la couverture. 2 écoles ou plutôt méthode de compensation inscrite noir sur blanc dans les conditions générales de vente et qui aboutissent à plusieurs dizaines ou centaines de milliers d’euros (rien que ça…) d’écart sur les paiements effectués par l’assureur. L’assureur peut :
- Soit prendre en charge vos échéances de prêt sur une base mensuelle
- Soit effacer définitivement votre prêt
Sans même entrer dans la technique, je pense que vous savez déjà quelle est la solution la plus avantageuse. Si vous receviez l’équivalent de 20 ans de revenu (durée possible de votre prêt), préféreriez-vous qu’il soit payé mensuellement (240 fois) ou une fois ? Et pourtant, je peux vous assurer qu’au moins 80% des emprunteurs finissent avec l’opération la moins avantageuse pour eux.
Pourquoi ? Par ignorance, par le fait d’avoir fondamentalement choisi le contrat le moins cher présenté par un comparateur d’assurance alors qu’à 100€ de plus sur 20 ans il aurait eu beaucoup mieux, mais aussi et au-dessus tout cela parce que leur banquier soumis à un meilleur taux de prêt très fortement suggéré (disons imposer) prendre l’emprunteur du contrat d’assurance de la banque.
Ce contrat certainement plus cher mais autrement plus qualitatif (la chanson des sirènes se rappellent…) Voici donc ce qui se passe et pourquoi il est impératif de choisir la bonne option ou le bon contrat (avec le solde du prêt en cas d’invalidité supérieur à 66%). Trois raisons principales que nous avons développées dans un article complet détaillant les méthodes de livraison des assureurs de prêts immobiliers (voir » Quelle « Invalidité permanente totale » (TDI) indemnisation pour votre assurance de prêt immobilier ?« ) :
- La première : pensez-vous qu’un assureur paiera vos échéances de prêt pour 20 ou 25 ans sans vérifier que vous êtes toujours dans le champ d’application de la définition de garantie IPT ? En effet, pendant cette période d’indemnisation, l’assureur demande habituellement des avis d’experts pour vérifier si votre invalidité est toujours supérieure à 66%. Si l’expertise montre que, compte tenu d’une légère amélioration de votre santé, ce taux est devenu inférieur à la barre des 66%, il cessera de payer du jour au lendemain et sera dans son droit
- . Deuxièmement, si vous êtes indemnisé mensuellement et que vous décidez de revendre votre bien avant la fin du prêt simplement parce qu’il ne convient plus à votre état de santé ou simplement parce que vous voulez changer votre air, vous perdrez l’indemnité. L’assureur vous demande des tableaux d’amortissement mis à jour pour vous indemniser. S’il n’y a plus de prêt à payer (vous avez l’obligation de payer le prêt si vous revendez le bien qu’il finance), vous ne pourrez plus fournir le document et l’assureur sera libéré de sa compensation. En fin de compte, c’est vous qui paierez votre prêt immobilier pendant que l’assureur le faisait pour vous. Par final avec une compensation qui est limitée à un paiement des échéances au mois par mois, vous êtes pied et poing lié à l’assureur pendant toute la durée du prêt.
- Le troisième : elle concernera en particulier les personnes dont la durée de l’hypothèque va de l’activité professionnelle à la retraite. Par exemple, un 55 ans qui ferait un prêt de 20 ans. La durée de la garantie IPT (et donc la compensation) prend fin selon les contrats à 65, 67 ou 70 ans. Par exemple, un emprunteur qui est handicapé à l’âge de 58 ans verrait son indemnisation cesser à l’âge de 65 ans ou plus tôt s’il prend sa retraite anticipée. En fin de compte, quelques années de compensation (4 par exemple s’il est à la retraite à 62 ans) tandis que son prêt durera encore 16 ans. Avec un contrat qui équilibre le prêt en cas d’IPT à 66% ce type de problème n’existe pas puisque même si vous prenez votre retraite dans le processus de prêt, cela aura déjà été remboursé, vous assurant ainsi une retraite sans problèmes financiers.
D’ autres cas concrets pourraient être mentionnés, mais je pense que ces quelques exemples vous permettront de vous projeter rapidement et de poser la question du type de compensation dans votre contrat. Nous avons mentionné l’âge de fin de garantie et comme vous l’avez vu, il diffère selon les contrats. Assurez-vous donc de choisir un contrat avec des garanties IPT correspondant à votre âge de départ à la retraite et pensez qu’il correspond également à l’âge maximum de la retraite. Logiquement, lorsque vous faites vos comparaisons sur un comparateur en ligne, soyez très vigilant puisque vous comparez les contrats avec différents âges de fin de garantie.
Ce qui dit que l’âge de fin de différentes garanties signifie la fin plus rapide de la facturation. En bref, si vous êtes facturé la garantie IPT jusqu’à 65 ans, cela coûtera moins cher que si nous vous facturons jusqu’à votre 70e anniversaire. Plus précisément, et c’est ce que nous avons expliqué dans l’article cité un peu plus tôt dédié au comparateur d’assurance prêt, vous comparez le chou et les carottes sans même le remarquer. En outre, il est important que vous soyez accompagné dans votre recherche d’emprunteur d’assurance.
Non pas par un teleadviseur qui vous dira seulement ce que montre son outil, mais par un expert capable d’avoir un oeil sur ce type de petit détail… Selon les contrats, l’âge de fin de garantie est facultatif, avoir le solde de votre prêt en cas d’IPT ou prendre en charge vos échéances aussi. Prendre un produit plus cher (celui qui vient en 3e ou 4e position sur le comparateur vous disant que ce n’est pas faible coût) n’est pas la bonne solution parce que c’est juste comme ça que cela fonctionne.
Tout est une question de connaissance et il est donc important si vous voulez faire votre approche seul ou avec l’aide d’un non-initié dans l’assurance (un courtier immobilier surtout dans les grandes marques utilise également des comparateurs d’assurance sans avoir le contrôle total puisque ce n’est tout simplement pas leur travail), vous devez vous demander ces différentes questions sur le produit auquel vous allez être abonné. Profitez de ces quelques points pour évaluer votre banquier sur sa compétence en assurance et la qualité de son produit.
Cela vous permettra d’avoir un angle de négociation différent pour imposer votre délégation d’assurance. Il parle à vous prix, des garanties de réponse et la protection de votre famille. En ce qui concerne les exclusions de garantie, nous les discuterons dans la prochaine section sur la garantie ITT car les garanties IPT et ITT sont liées la plupart du temps et comportent des exclusions ou des restrictions qui sont donc courantes. Nous insistons sur ce seuil de 66%. Mais que se passe-t-il si votre taux est plus bas ?
Généralement rien… L’assureur ne vous paie pas. Ainsi, à 40, 50, 60 ou même 65 % de l’invalidité, vous ne recevez aucune prestation. Certes, votre état de santé est le même à 65 ou 67%, mais dans un cas l’assureur sera en mesure d’émettre un chèque de 500 000€ (si votre capital restant équivaut à cette somme) et dans l’autre il ne vous paiera pas un sou… SAUF SI ? ? Si vous avez acheté la Garantie d’invalidité permanente partielle du RPI
Garanties IPP (invalidité permanente partielle)
C’ est ce que j’appellerai une « garantie prolongée ». Il permet d’abaisser votre seuil de couverture à 33 % au lieu des 66 % devaient être couverts par l’IPT. Ainsi, avec la même opération pour le calcul du taux si vous êtes entre 33 et 66% de l’invalidité, vous serez en mesure de recevoir une prestation. Cette prestation sera certainement partielle, mais dans une situation complexe d’invalidité, il vaut mieux bénéficier d’une prestation inférieure à celle d’aucune prestation du tout. Ce service, bien qu’il semble très utile, n’est presque jamais abonné.
Pourquoi ? La faute du système industriel (c’est mon explication et ça ne fait que m’intéresser mais je ne pense pas vraiment que je suis loin de la vérité…). Le banquier ne demande pas cette garantie, donc les emprunteurs ne la retireront pas. Nous avons vu que chaque banque a des critères spécifiques basés sur son propre contrat. À ce jour, Crédit Agricole, Caisse d’Epargne, BNP, Banque Populaire, Banque Postale, Axa Banque, Boursorama, Crédit Du Nord, LCL ou même CIC (selon le contrat qu’ils proposent à l’emprunteur) n’ont pas besoin de cette garantie.
Et ils ne l’exigent pas, tout simplement parce qu’il n’existe pas dans leur contrat. Donc quand un banquier du Crédit Agricole par exemple (je n’ai rien contre eux mais puisqu’ils ont publié les fakenews sur la moindre qualité assumée des contrats en délégation d’assurance) vous dit que son contrat est plus cher car il est plus qualitatif, vous aurez toujours l’occasion de lui dire que vous voulez impérativement être couvert en cas d’invalidité partielle à partir de 33 % parce que vous savez comment évaluer les contrats d’assurance des emprunteurs et que vous voulez maximiser vos chances d’être correctement garanti. Si on vous dit qu’il est couvert, demandez une lettre, cela peut toujours vous être utile, surtout si les termes et conditions ne l’indiquent pas. Toujours utilisé le texte écrit lors de la discussion des points techniques d’un contrat d’assurance emprunteur.
Sans viser une banque en particulier, je parle de la faute du système industriel parce que, encore une fois, compte tenu du nombre de banques dans lesquelles il n’est tout simplement pas possible d’être couvert autre chose que pour les cas de maladie ou d’accident très lourd (IPT), on peut poser des questions sur le but de ces produits et sur le fait que les emprunteurs sont correctement protégés. Dans la continuité de ce système industriel, nous avons des comparateurs d’emprunteur d’assurance qui vous demande le nom de votre banque de sélectionner automatiquement des garanties identiques à celle-ci.
Évidemment, il est plus facile (et surtout plus rentable) de faire la même chose moins cher que d’entrer dans les détails d’une explication pour montrer à l’emprunteur comment cela fonctionne et la valeur de la prise de cette garantie facultative. D’autant plus que si tout est bien adapté au niveau informatique, ce client potentiel pourra se joindre en ligne sans même avoir de contact. C’est beau marquage numérique ? ? ? Qu’est-ce qui n’est pas le service marketing qui s’occupe de la rémunération lorsque vous êtes invalide à 50 ou 60 % ? ? Ah, je pensais… 😉 Pour fermer cette parenthèse « anti système » et revenir à la technique, vous pourrez bénéficier d’un filet de sécurité si l’assureur sous-estime votre taux d’invalidité et c’est le principal avantage de cette garantie. Même si la formule de calcul vous amène à tomber à 50 ou 60 % de l’invalidité, vous évitez l’absence totale de compensation et le risque de vous retrouver dans une situation financière complexe qui vous oblige à revendre la propriété en cas de catastrophe, car cela peut malheureusement être l’objectif.
Ainsi, selon la formule de calcul utilisée par l’assureur et incluse dans ses provisions générales, vous pourrez, dans une grande majorité des cas, bénéficier d’une couverture presque complète de votre échéance si votre taux final est proche de 66%. La formule la plus couramment utilisée est N-33/33 (N est le taux d’invalidité fixé par l’assureur après votre expertise). Ex : si vous avez 60 % d’invalidité, l’assureur couvrira (60-33) /33 = 81,81 % de votre acompte mensuel Dans la logique de cette formule, et il nous semble être adapté à la situation, plus votre taux d’invalidité sera élevé, et donc proche de 66 %, plus la couverture d’assurance sera élevée. Certains autres contrats leur paient systématiquement 50% du paiement mensuel du prêt dès que vous êtes dans la fourchette entre 33 et 66%. Compte tenu de ce que nous venons de décrire sur la garantie IPP, nous considérons que cette garantie devrait être systématiquement souscrite.
Il est peu coûteux car son coût est généralement compris entre 10 et 15% (on augmente le prix de base de 10 à 15% si on inclut le PPI) selon les assureurs mais surtout il apporte une réelle sécurité dans une situation déjà assez compliquée puisqu’on parle d’un handicap c’est-à-dire d’un état de santé qui ne changera pas dans la bonne direction et c’est définitif. Cet état peut vous empêcher d’exercer pleinement votre profession ou vous mettre dans l’obligation de vous convertir à une profession qui peut être moins rentable que celle que vous avez exercée jusqu’à présent.
Les professionnels de la santé sont particulièrement sensibles à ce type de garantie parce que pour des professions telles que chirurgien dentaire ou médecin spécialiste, les spécificités de la profession ne sont pas bien prises en compte dans les contrats « types » Ainsi, des options spécifiques peuvent être trouvées, mais ici encore, faites attention à la définition et à l’évaluation des taux d’invalidité sur les contrats d’assurance prêt et de retraite. En effet, même si les termes sont identiques, l’opération est très diversifiée.
La garantie ITT (incapacité temporaire de travail)
La garantie ITT est tout simplement ce que nous appelons tout un arrêt de travail. La plupart du temps, le banquier ou le courtier immobilier vous parlera des garanties informatiques ou ITT comme incluant la garantie IPT, mais ce n’est pas le cas. Il s’agit là d’une garantie en soi. La garantie ITT (arrêt de travail) est temporaire, tandis que la garantie IPT (invalidité totale supérieure à 66%) est permanente et donc définitive.
Je prends habituellement comme exemple le cas d’un bras qui serait cassé par rapport à un bras qui sera coupé. Le bras cassé qu’il guérit et il remarque, le bras coupé ne repousse pas. Dans le premier cas, vous serez en ITT et vous retournerez au travail, dans le second cas, la situation est définitive et un taux d’invalidité peut être évalué. En ce qui concerne la définition qui se trouve dans les contrats d’assurance, on peut lire ce qui suit :
« ITT : état médicalement trouvé incapacité totale et temporaire de la part de l’assuré à exercer son activité professionnelle en lui procurant un gain ou un profit (ou toutes ses professions habituelles, si l’assuré est sans activité professionnelle au moment de la revendication) »
Compte tenu de cette définition et de l’importance des mots dans notre chère langue française, plusieurs leçons peuvent être apprises. Dans le passé (mais cela n’existe presque plus sur les contrats actuellement commercialisés), il convient d’accorder une attention particulière à cette définition, car certains contrats indiquaient l’impossibilité d’exercer « toutes » professions plutôt que « une » profession.
Donc, si vous avez un ancien contrat, je vous invitent à vérifier cet aspect parce que si vous avez un travail manuel, par exemple, vous pourriez bien être arrêté parce que vous avez un problème entre vos mains alors que dans le même temps l’assureur sera en mesure de juger que vous pourriez travailler dans un autre secteur et donc ne pas compenser. Vous remarquerez également que, dans sa définition, l’assureur fait référence au cas d’un emprunteur qui n’aurait pas d’activité au moment de la réclamation.
C’est le cas d’une personne sans emploi ou à la recherche d’un emploi. Alors, comment pensez-vous que ça se passe ? Eh bien, cela dépend simplement du contrat auquel vous avez souscrit est une première différence sur la couverture de garantie ITT. Certains contrats peuvent prévoir 100 % de votre paiement mensuel, tandis que d’autres plafonner leur paiement à 50 %.
Ainsi, et surtout si vous êtes dans cette situation au moment de la souscription, demandez-vous ce que prévoit votre contrat parce qu’il n’est plus un véritable souci de vous joindre (bien que certains assureurs refusent d’assurer en vertu de l’ITT les personnes qui n’ont pas activité professionnelle au moment de la souscription) mais quand elle est compensée, l’assureur ne verra pas nécessairement les choses de la même manière. Si les dispositions générales prévoient un plafond d’indemnisation à 50 % du paiement mensuel si vous êtes « inactif », vous serez directement touché même si vous payez le même prix que les « actifs ». Dans le même esprit que la garantie IPT ou IPP, vous avez l’âge de fin de prestations à 65, 67 ou 70 ans. Rappelez-vous que cela déforme le calcul des prix mais aussi que selon votre âge lorsque vous souscrivez au contrat, vous devez vous poser la question de votre âge de retraite si vous voulez être couvert. L’un des points les plus importants qui doivent être vérifiés sur votre contrat d’assurance emprunteur est le mode ou le type de service.
En langage technique, nous parlons d’un service ITT forfaitaire ou d’indemnisation. Si vous disposez d’un service ITT forfaitaire (ce qui n’est pas indiqué dans le contrat et c’est la majorité des contrats qui prévoient cette opération), L’assureur vous verse la compensation attendue, c’est-à-dire 100 % de votre date d’échéance, par exemple, alors que si vous avez une indemnité ITT, l’assureur vous verse toujours, mais dans la limite de votre perte de revenu. Le contrat ne mentionnera pas les avantages compensatoires. C’est un peu plus subtil. Il s’agit d’une prestation limitée à la différence entre un revenu de référence (votre salaire habituel) et un revenu de remplacement (vos prestations globales lorsque vous êtes en arrêt de travail).
Ces dernières nuances changent absolument tout car entre les prestations versées par le système de sécurité sociale et celles d’un éventuel contrat de retraite (il est obligatoire pour les cadres ou si vous dépendez de certaines conventions collectives) vous êtes susceptible de recevoir une bonne partie de votre salaire habituel avoir un maintien salarial. Par conséquent, vous me direz que cela peut sembler normal, l’objectif est de ne pas avoir une meilleure situation financière lorsque vous êtes en arrêt de travail.
Je pourrais vraiment vous l’accorder, mais le problème est, disons, philosophique puisque vous payez pour un contrat sur lequel on vous dit que vous êtes admissible à la garantie et à la fin de ne pas vous payer quoi que ce soit. Pas un sou alors que vous ne payez pas les garanties moins cher que les autres ou même plus cher quand vous regardez l’ensemble de l’opération mise en place par le banquier — cf » Crédit immobilier : Comment la Banque Populaire Caisse d’Épargne (BPCE) vous fait payer plus avec l’assurance emprunteur ? ») — Les Banques Populaire et la Caisse d’Epargne commercialisent ce type de contrat via la CNP notamment sur les versions 2486C, 2487D et 2220N.
Vous devez donc être particulièrement vigilant lorsque ces établissements vous proposent ces contrats et que le calcul de l’assurance est effectué sur le capital restant dû, c’est-à-dire avec un coût décroissant dans le temps. L’article ci-dessus en fait une présentation complète et obtenir une assurance externe vous permettra de passer à travers les numéros de piège à la fois sur le crédit immobilier et l’assurance emprunteur connexe. Le MGEN utilise également ce système selon à la banque dans laquelle vous empruntez.
Il est très important que, dans la grande majorité des cas, si le service ITT est compensatoire (limité à la perte de revenus), il en sera de même pour la garantie IPT. Cela signifie (si vous êtes en IPT et donc dans une situation d’invalidité totale et définitive) que vous ne pouvez pas affecter quoi que ce soit pendant la durée totale de votre prêt. En même temps, un autre contrat plus qualitatif aurait fait un chèque équivalent à la totalité de votre capital restant dû. Toujours sur ce principe de compensation, quand vous voulez un contrat sans exclusion sur une pathologie parce que vous cherchez un contrat qualitatif (cela peut être le cas pour les emprunteurs diabétiques (voir » Quelle assurance hypothécaire pour les diabétiques de type 1 ou 2 : solution, conseil et analyse. »), ou avec le VIH, ou avec une histoire de cardiologie qui sont à la recherche d’un contrat sans exclusion sur leur pathologie) ne sont particulièrement pas satisfaits de ce type de contrat parce que même si vous n’avez pas d’exclusion vous n’avez presque aucune chance d’être indemnisé si vous avez un statut d’employé ou de fonctionnaire.
Vous aurez compris le contrat d’indemnisation, c’est L’ACCORD d’éviter par excellence. Un autre point à prendre en compte et qui est presque devenu un « mode » pour les garanties ITT, la gestion sans restriction des pathologies dorsales ou psychiques (voir » Assurance prêt et définition de la couverture « rétrécissement et retour » (troubles disco-vertébraux et mentaux). Les banquiers ne prennent pas soin de vous sous la garantie d’invalidité si vous n’êtes pas en invalidité totale et lourde, mais d’autre part, leur contrat est selon les formateurs (et les informations qui sont ensuite relayées dans toutes les succursales bancaires) de bonne qualité parce qu’ils vous indemniseront pour un lumbago ou sciatique… dure 3 mois parce que la garantie ITT prévoit généralement une franchise de 90 jours. Et bien sûr, pour ces mêmes formateurs très bien conscients du marché de l’assurance, les contrats en délégation d’assurance ne prévoir cette possibilité… Bien sûr, c’est complètement faux puisque vous n’avez qu’à le demander.
C’est une option spécifique et l’opération détaillée est expliquée dans l’article ci-dessus. En ce qui concerne le délai de réception de l’indemnisation, il est indiqué ci-dessus 90 jours. Par conséquent, tant que votre arrêt de travail ne dépasse pas 90 jours, vous n’aurez pas droit au paiement d’une prestation. Vous avez la possibilité sur des contrats externes d’avoir des franchises plus courtes (30 ou 60 jours) mais cela est généralement beaucoup plus cher. Il est préférable que vous soyez un travailleur indépendant ou un professionnel, surtout examiner correctement votre garantie de retraite. A contrario être attentif aux banques qui vous présenteraient des contrats avec franchise de 180 jours au motif que vous êtes fonctionnaire (prêt d’assurance BFM à la Société Générale ou parfois MG si vous faites un prêt à la Banque Postale) ou que vous pourriez payer moins (prêt d’assurance CIC ou Crédit Mutuel selon la version du contrat « assur prêt »).
Vous aurez compris derrière 5 termes cités dans un devis de l’emprunteur d’assurance, décès PTIA, IPT, IPP et ITT, vous avez 10 à 15 pages de conditions générales avec des fonctionnalités qui varient considérablement selon le contrat. Si vous pensiez qu’un comparateur d’assurance prêt pourrait faire tout le travail en trois clics, j’espère que cet article vous a permis de tempérer votre croyance. Comme n’importe quel outil informatique, un comparateur d’assurance peut gagner un temps incroyable tant que vous maîtrisez ce qu’il fait et comment il le fait.
Tout le monde a accès à ces outils, professionnels et privés, mais très peu de gens contrôlent vraiment leur fonctionnement (système de facturation ou optimisation possible). Personnellement, j’ai déjà réussi à réduire les cotes d’assurance prêt de 30% en quelques clics et en prenant en charge un prix fait à la main plutôt que de le laisser faire par le comparateur d’assurance auquel j’ai accès. Mais est-ce vraiment mon travail ? ? Mon travail, tout comme il devrait l’être pour toute personne qui commercialise une assurance de prêt immobilier, est d’identifier rapidement vos attentes, ceux de votre banque et suggérer quelques éléments supplémentaires à prendre en compte. Ainsi, lorsque vous sélectionnez vos garanties de décès PTIA IPT ITT, ne vous demandez pas ce que la banque demande, mais ce que vous voulez.
Chaque banque a des exigences minimales qui vous seront communiquées sur la fiche d’information normalisée et cela doit servir de base à l’obtention de son prêt. Toutefois, il n’est pas obligatoire de faire de même, surtout lorsque la banque demande au syndicat minimum, c’est-à-dire une garantie DC-PTIA IPT IPT sans IPP, avec la possibilité de fournir un contrat contenant des restrictions sur les conditions mentales et rétrospales. Certains exigent la base minimale (LCL ou Credit du Nord par exemple), d’autres les garanties maximales, c’est-à-dire une invalidité partielle et aucune restriction sur les maux psychiques et dorsaux (Fortuneo ou Crédit Mutuel de Bretagne par exemple).
Pouvons-nous parler de conseils personnalisés lors de la souscription d’un contrat d’assurance emprunteur lorsque, quel que soit votre profil, nous vous recommandons la même solution que tous les autres clients du Banque ? Ensuite, je n’aurai qu’un seul conseil, posez-vous vos propres questions sur le type de couverture d’assurance prêt dont vous voulez bénéficier, car en cas de problème, vous serez le seul à supporter les conséquences. L’achat de la garantie IPP et le solde du prêt en cas d’invalidité totale me semblent d’une importance primordiale lorsque vous y êtes admissible. L’option permettant de ne pas avoir de restrictions sur les maux de dos et psychiques ainsi. Certes, cela aura comme effet un coût supplémentaire de 20 à 25% par rapport à une marchandise, mais en fin de compte, si vous ne laissez pas aller sur la négociation de votre délégation d’assurance, vous aurez obtenu un énorme gain puisque selon votre situation, les prix seront 2 à 3 fois moins chers que la banque. Un autre point de réflexion est que vous pouvez réduire votre quota à 80%, par exemple, plutôt que de vous concentrer sur 100% tout en couvrant au mieux. Cela conservera le même budget global, mais avec toutes les options de couverture.
En mathématiques mieux 80% de quelque chose (étendre vos garanties maximise les chances d’être couvert) que 100% de rien du tout (même 100% si votre préoccupation ne correspond pas aux garanties, vous n’obtiendrez aucune compensation) Il convient de noter que dans certaines situations (groupe d’âge, par exemple), vous devez poser la question du prix afin de ne pas dépasser le taux d’usure entraînant un refus d’un prêt (voir « Taux d’usure dépassé et refus d’un prêt immobilier : solutions pour réduire votre taux annuel grâce à l’assurance emprunteur »). Il en va de même pour les personnes présentant un risque de santé aggravé et pour lesquelles le nombre de contrats correspondant aux attentes de couverture est parfois limité (voir » Comment obtenir un crédit immobilier avec un problème de santé ou une maladie ? »). Le comparateur d’assurance prêt immobilier est à votre disposition pour mener votre propre réflexion
Comment souscrire à une assurance emprunteur ?
Pour pouvoir bénéficier des garanties de l’assurance emprunteur, vous devrez au préalable trouver un assureur. Il existe sur le marché de nombreux assureurs ainsi pour souscrire à une assurance emprunteur il suffit de vous rendre dans un établissement qui pourvoit un service d’assurance ou simplement d’y souscrire en ligne. Si vous choisissez de souscrire à une assurance emprunteur en ligne, vous serez d’autant plus avantagés car vous pourrez très aisément trouver un assureur qui propose une offre comprenant toutes les garanties dont vous avez besoin et au meilleur prix sur le marché.
Vous trouverez sur le net de nombreux assureurs, nous vous recommandons le site Millenium-Financement.Fr qui offre un excellent service de courtage. Si vous êtes à la recherche d’un assureur pour souscrire à une assurance emprunteur vous êtes au bon endroit. En effet, en plus d’être un courtier en prêt immobilier, Millenium Financement peut également vous proposer une offre pour l’assurance emprunteur et le regroupement de crédits à un prix très avantageux pour vous. Si vous êtes déjà assuré vous n’avez pas à vous en faire en effet il s’occupera de la résiliation de votre ancien contrat d’assurance emprunteur.